Cette semaine, nous partons à la rencontre des deux fondateurs de la start-up auvergnate QAPSUL, Edouard Vega et David Marcos.
C’est une tendance de fond. Les entrepreneurs sont de plus en plus « green native ». Leurs projets sont « conçus avec le souci de réduire leur consommation énergétique et leur empreinte carbone ». Ce format sérieux « et en même temps » léger, met en lumière ces nouveaux porteurs de projet à impact.

Explique-nous ton projet

QAPSUL révolutionne l’emballage alimentaire avec des solutions isothermes, durables et innovantes pour la restauration rapide et le portage de repas. Personnalisables, pratiques et respectueuses de l’environnement, nos boîtages repensent l’expérience culinaire tout en réduisant l’impact sur la planète. Notre engagement envers la durabilité guide chaque aspect de notre mission, façonnant l’avenir de l’industrie alimentaire. Nous construisons vos emballages aujourd’hui pour mieux consommer demain.

Résume-le en trois mots-clés 

Innovation, Réutilisable, Qualité

Pourquoi avoir décidé de monter ce projet ?

En tant qu’épicuriens, nous avons tous mangé à emporter durant le COVID. La conclusion : les saveurs que voulait nous faire passer le restaurateur n’étaient pas au rendez-vous et la quantité de déchets était démesurée.

Pourquoi ce nom (de marque) ?

Le nom est une collaboration avec notre entourage et notre psychanalyse par une agence de com. Nous réalisons du packaging, quoi de mieux que d’encapsuler les aliments et les protéger. Qapsul est né.

En quoi ce projet améliore-t-il le monde ?

QAPSUL révolutionne l’emballage alimentaire avec des solutions réutilisables, réduisant les déchets et favorisant une consommation responsable.

Une start-up qui te fait rêver (et pourquoi?)

Coucou Visio, l’abnégation de notre coloc. Elle nous pousse à nous surpasser. Elle intervient dans le domaine pour combattre l’isolement des personnes.

Une start-up qui ne te fait VRAIMENT PAS rêver (et pourquoi) 

La critique est facile mais l’art reste difficile, donc nous nous tairons sur cette question.

Si tu pouvais recommencer ton projet à 0, tu changerais quelque chose ? Et si oui, quoi ? 

Edouard : Je changerais quelques prises de direction mais dans l’ensemble nous avons beaucoup appris en faisant des erreurs, l’histoire serait dure à réécrire.
David : Je changerais d’associé, j’en prendrais un plus maigre LOL. Je suis d’accord avec Edouard, nous avons appris beaucoup avec des décisions mais il fallait les prendre et avancer.

 Le meilleur moment depuis le début de ton projet ? 

David : Sans hésiter, l’entrée au Village car on n’a pas encore notre boîtage mais je pense que lorsque le premier boîtage va sortir de la presse en février, ce sera notre plus beau souvenir.
Edouard : Je rajouterai les acceptations de dossiers de levée de fonds obtenues.

Le pire moment depuis le début de ton projet ?

David : J’en ai pas, ne se prononce pas.
Edouard : Tous ces horribles moments où notre industriel recule le lancement de notre boîtage finalisé !

Un super héros que tu embaucherais et pourquoi ?

David : J’embaucherais Thor avec son marteau, il briserait les a priori et les freins sur la réutilisation.
Edouard : Il nous faudrait le Superman de la communication, secteur dont nous ne sommes pas des amoureux.

Aujourd’hui, qu’est ce qu’il te manque pour avancer ? 

No comment, nous sommes dans l’attente de notre industriel.

Si tu avais Musk/Gates/Bezos, comme stagiaire qu’est ce tu leur ferais faire ? Des cafés de l’espace ?

David : Une batterie pour mon téléphone, j’oublie toujours de le charger, je me fatigue moi-même. Bill Gates nous sortirait un logiciel de consigne. Bezos, on lui demanderait de faire le site AMA »QAPSUL»ZONE pour vendre des milliards de boîtes.
Edouard : Je les mets tous les 3 dans une pièce et je leur demande de créer une start-up avec 100 €.